Hanaka
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 Nalian De La Meriyan

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Nalian De La Meriyan
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Nalian De La Meriyan


Nombre de messages : 6
Date d'inscription : 06/06/2007

Nalian De La Meriyan Empty
MessageSujet: Nalian De La Meriyan   Nalian De La Meriyan Icon_minitimeVen 8 Juin - 14:24

Nom : De La Meriyan

Prénom : Nalian

Surnoms : il n’aime pas ça, mais cela n’empêche certainement pas sa génitrice de lui en donner…Les derniers en date sont « Lian » et « Nali », bien que son favori reste « Lili »…Une dernière chose : ne vous avisez JAMAIS de l’appeler ainsi sans sa permission ; votre existence risque fortement d’atteindre le seuil des enfers…XD

Âge : 18 ans

Sexualité : il ne s’est jamais posé la question. Indéterminé donc (pour le moment…XD)

Taille : 1m 87

Poids : 70 kilos.

Famille : père d’origines françaises duquel il a hérité son nom, à la tête d’une joaillerie très renommée comprenant évidemment une filière bijouterie ; décédé à ce jour. Mère chinoise, établie au Japon, héritière d’une grande marque de parfum qu’elle continue d’exploiter avec succès.

Description physique : sa silhouette grande, élancée, souligne les courbes relativement anguleuses de ses membres caractérisés par la finesse propre à la morphologie masculine. En d’autres termes, il ne possède pas les muscles d’un rugbyman, mais ils sont néanmoins loin d’être fluets. Autant dire que si on cherchait à le violenter, il donnerait du fil à retordre à ses adversaires sans pour autant être « El Gringo », l’homme le plus fort du monde (cherchez pas, c’est le début des vacances, je suis pas dans mon état normal…).
Côté physionomie du visage, ses traits fins lui confèrent un certain charme, bien loin de la beauté propice au mannequinat cependant, d’autant plus que ses caractéristiques physiques plutôt banales n’attirent pas le regard des autres : ses cheveux châtains désordonnés en de longues mèches effilées l’empêchent d’arborer une coiffure dite « réglementaire », car il ne compte plus le nombre d’épis qui hérissent partiellement son crâne, ceux-ci entraînant une différence de longueur parfaitement visible entre toutes ses mèches. Ses yeux verts, quant à eux, ne se distinguent pas par une quelconque originalité au premier abord ; il faut un peu s’attarder dessus pour remarquer la profondeur, presque abyssale, de leur couleur : tels de précieuses émeraudes, leur éclat n’est pas d’une luminosité extrême, cependant il possède une étrange puissance qui met rapidement mal à l’aise ceux n’étant pas en mesure de comprendre la force de ce regard parfois prodigieusement inquiétant…
Le jaune pâle de sa peau révèle, allié à la couleur de ses prunelles, ses origines à la fois européennes et asiatiques, curieux mélange qui lui attribue le rang de métis.

Caractère : s’il n’est pas vraiment intéressant physiquement, son caractère s’avère au contraire particulièrement charismatique, hors du commun ; d’un naturel calme, il n’aime pas l’agitation, le bruit, et les personnes qui en sont à l’origine, c'est-à-dire les personnes genre pile électrique, celles qui rient pour un rien alors que ce n’est pas forcément drôle, et SURTOUT…les enfants. Il les a en horreur. Son goût de la solitude et du silence rend difficile son intégration au sein d’un groupe, bien qu’il ne soit pas asocial pour autant ; cet inconvénient ne le dérange pas outre mesure, car il n’aime pas trop parler, et faire partie d’un groupe signifie avoir un minimum de conversation. Or généralement, ses centres d’intérêts diffèrent presque radicalement de ceux des personnes avec lesquelles il parle, et il se retrouve très rapidement à l’écart du sujet de la conversation ; soit parce qu’il n’a pas les connaissances nécessaires, soit parce que tout simplement cela ne l’intéresse pas. Cet aspect de sa personnalité fait de lui un bon lecteur potentiel, ce qui est effectivement le cas ; il lui arrive même parfois de citer un de ses auteurs préférés sans qu’il en est réellement conscience, ce qui le rend d’autant plus bizarre aux yeux des autres. Après, la gentillesse n’est pas son for : vous n’entendrez jamais une parole gentille ou un compliment se glisser entre ses lèvres pour faire joliment vibrer vos tympans, à moins que vous fassiez partie du cercle très restreint des personnes proches de lui ; elles se comptent sur les doigts de la main. Attendez-vous plutôt à des réflexions ironiques, au pire rabaissantes, des commentaires acides où le sarcasme se mêle avec entrain, sans compter les petites phrases assassines qu’il lance au quotidien…Il se met très facilement en colère, car un petit détail qu’il trouve déplaisant finit presque toujours par l’horripiler au bout d’un certain temps qui ne dépasse pas quelques secondes…Etant légèrement paresseux –EHEM-, il n’aime pas faire des efforts, aussi bien physiques que mentaux, à part si la situation l’exige ; cette fainéantise canalise un peu les conséquences de ses fréquentes colères, ne le poussant à la violence que très rarement : s’il y a recours, c’est que vos propos ou actions lui ont paru particulièrement odieux.
Un dernier point crucial de sa personnalité : il ne supporte pas de voir les autres pleurer. Les larmes le rendent malade, l’effraient, le gênent terriblement, et lui rappellent surtout de très mauvais souvenirs. Il y a néanmoins un aspect positif : c’est peut-être dans ses moments-là que vous pourrez le trouver sympathique, car il perd presque tous ses moyens et va tout faire pour que cette crise de larmes s’arrête au plus vite, allant jusqu’à consoler la personne en de rares occasions, lui qui n’aime habituellement pas prendre dans ses bras ou écouter les jérémiades…
Ses sourires sont quant à eux très rares, et ils sont généralement narquois, moqueurs, ironiques, insolents, voire carrément mauvais. Eh oui, même ses lèvres ne connaissent pas la gentillesse…

Qualités : discret, calme, attentif aux personnes qu’il trouve sympathiques (attention y’en a très peu), observateur, a le sens des responsabilités, heu…je vois pas après. XD

Défauts : moqueur, ironique allant facilement jusqu’au sarcasme, colérique, EXTREMEMENT rancunier, hypocrite à ses heures perdues, froid et indifférent parfois, insolent…et encore ç’aurait pu être pire. XD

Talent Particulier : il sait très bien faire…la cuisine. (SURTOUT pas de questions !).

Histoire : Lorsque les parents de Nalian se rencontrèrent…ils ne pouvaient pas se voir en peinture. L’une disait que les garçons étaient tous des hypocrites faibles d’esprit auxquels on ne pouvait certainement pas faire confiance, surtout au point de vue relation amoureuse, et l’autre affirmait que les femmes changeaient un peu trop facilement de compagnon…résultat : malgré leur hostilité réciproque, ils ne se lâchaient pas d’une semelle, sans compter sur le rôle important de leurs géniteurs respectifs, qui traitaient un peu trop souvent ensemble de leur point de vue…
Puis un signe du destin les poussa à mieux se connaître : les deux familles avaient signé l’accord de l’alliance entre leurs deux entreprises, forçant leur chère progéniture à travailler presque constamment ensemble…Au fil du temps, ils firent des efforts et découvrirent la personnalité de chacun, s’apercevant au final qu’aucun des deux ne correspondait à la définition qu’ils s’étaient faite chacun de leur côté. Ils en vinrent à éprouver une attirance, et un amour puissant naquit entre eux, à tel point que l’on célébrait relativement rapidement leur mariage quelques années après.
Le fruit de cet amour ne tarda pas à arriver, un mignon petit garçon aux incroyables yeux verts comme le disait si bien sa mère. Les premières années de la vie de ce petit garçon furent heureuses : ses parents l’adoraient, il adorait ses parents, tout allait parfaitement bien, comme dans les contes de fées. Sauf que dans la réalité, les contes fées ne durent que très rarement…
Aux alentours de ses sept ans, une nouvelle dont il ignorait la nature fut communiquée à sa mère, et celle-ci changea du tout au tout : elle qui souriait presque constamment devint inexpressive, à part pour éclater en sanglots ; elle ne sortait plus de sa chambre, elle qui ne supportait d’ordinaire pas d’être enfermée. Elle ne voyait plus son fils, cet être si cher à son cœur qu’elle suivait partout comme un petit chien, s’émerveillent de le voir jouer, apprendre, dormir, et surtout grandir.
Le petit être ne compris pas ce revirement et voulu savoir pourquoi sa mère avait si soudainement changé. Sauf qu’à chaque fois qu’il allait la voir, qu’elle posait les yeux sur lui, elle se mettait à pleurer, et lorsqu’il lui demandait de sa petite voix d’enfant remplie d’innocence « Pourquoi tu pleures, maman ? », ses sanglots redoublaient d’intensité, à tel point que les domestiques étaient parfois contraints de lui administrer des calmants.
Face à cette réaction incompréhensible, le petit Nalian se dit que si sa mère était devenue comme ça, aussi triste et dévastée, c’était de sa faute ; il avait du faire quelque chose de mal sans s’en apercevoir, et cela avait fait beaucoup de mal à sa génitrice. Seulement, qu’avait-il fait ?
Ce n’est qu’au bout de plusieurs semaines qu’il comprit que ce mal affectant sa mère ne venait pas de lui. Il était allé voir sa mère pour qu’elle lui explique sa faute, mais en se dirigeant vers la chambre maternelle, il s’aperçut d’une chose qui aurait du l’alarmer depuis longtemps. Cette fit qu’arrivé à destination, il avait une toute autre question.

« -Maman, il est où papa ? »

Sa mère le regarda quelques secondes sans bouger, puis elle se précipita vers lui et l’enlaça, l’attirant contre elle comme elle ne l’avait jamais fait, se raccrochant à lui tel un naufragé à sa bouée de sauvetage. Son corps secoué de violents sanglots surprit tellement Nalian qu’il ne put dire mot, attendant il ne savait quoi.
Au bout d’un moment qui parut une éternité aux yeux du petit garçon, elle se calma.

« -Il est parti, dit-elle dans un souffle.

-Où ça ? voulut-il savoir.

-Très loin. Dans un endroit d’où l’on ne revient jamais. »

Le petit se figea. Sa mère le serra davantage contre elle.

«-Il nous a laissés. Mais le pire…

Elle gémit

-…c’est qu’il n’y est pour rien ! acheva t-elle, étranglé par la vague de larmes qui l’assaillait de nouveau. »

A l’époque, Nalian, abasourdi par ce qu’il venait d’entendre, ne comprit pas immédiatement ce qu’était cet endroit d’où on ne revenait jamais.

Les années passèrent, et même si sa mère le supportait plutôt bien, sa santé se dégrada lorsqu’il eut dix ans. Durant ce laps de temps, la personnalité de Nalian changea. C’était lui qui avait pris la situation en main, décrétant que sa mère n’était pas en état de gérer la maisonnée. Il était très mature pour son âge et ses décisions étaient rarement contestées, en même temps il ne s’occupait que des affaires de sa maison, les entreprises marchant très bien avec l’aide des sous dirigeants qui pour une fois s’avéraient dignes de confiance.
Un beau jour cependant…

«-Maître, la maîtresse refuse de se nourrir. »

Le jeune garçon décida qu’il était temps d’intervenir.

«-Maman, il faut que tu manges. »

Elle ne réagit qu’après un moment, se contentant de regarder son fils d’un œil éteint.

«-Ton père était un excellent cuisinier, dit-elle simplement. »

Il n’eut aucune réaction.

«-Mais il m’a abandonnée. Il est parti et je ne le reverrai plus jamais !! éclata t-elle soudain. »

Il la prit dans ses bras, attendant qu’elle se calme. Puis soudain, une idée lui traversa l’esprit. Une idée qui marcherait peut-être.

«-Maman, tu peux me faire une promesse ? »

Elle acquiesça faiblement.

«-Si c’est moi qui fait la cuisine, tu la mangeras ? »


Le jeune maître de maison réunit son personnel de cuisine, leur demandant de lui apprendre l’art culinaire. Les domestiques, incrédules et stupéfaits en premier lieu, acceptèrent néanmoins, et il s’avéra que leur jeune patron se débrouillait très bien. Après, le temps peaufinerait son expérience.
Nalian de son côté fut très surpris de constater qu’il prenait plaisir à faire cette soi-disante corvée qu’était la cuisine. Il en fit un de ses passe-temps favoris par la suite.
Quant à sa mère, elle teint sa promesse, mais n’acceptait de manger que ce que préparait son fil.
Celui-ci finit par lui demander ce qui était exactement arrivé à son père. D’abord décontenancée, elle consentit cependant à lui en parler.

«- Ton père devait aller en Europe, comme très souvent. Un banal voyage d’affaire, classique, qui devait durer un mois tout au plus. »

Sa gorge se noua.

«-Sauf que son avion n’est jamais arrivé à destination. Il a disparu en plein milieu de l’Océan Indien. »

Elle reprit difficilement son souffle.

«- Les recherches entreprises n’ont rien donné. Quelques jours plus tard, des débris de l’avion étaient retrouvés sur les côtes africaines. »

Des larmes silencieuses roulèrent sur ses joues. Son fils ne bougea pas.

«-On n’a jamais retrouvé son corps. »


Nalian ne pleura pas. Il ne su pas pourquoi. Peut-être parce qu’il avait appris à supporter l’absence de son père durant ces dernières années ? Peut-être parce qu’il avait grandi et donc mûri ? Il ne savait pas. Seule certitude, cette confession que lui fit sa mère sembla la soulager d’un grand poids, car elle repris goût à la vie et se remit même à sourire, sans pour autant accepter de manger autre chose que la cuisine de son fils…

«-Je crois que j’y suis devenue accro, lui disait-elle en riant. »

Lui n’avait cependant pas terminé de lui poser des questions. Il y en avait en particulier une qui le turlupinait.

«-Maman, je peux savoir pourquoi tu pleurais à chaque fois que tu me voyais ? »

Elle eut un sourire triste après s’être figée quelques secondes.

«-Tu lui ressembles beaucoup. Et à chaque fois que je te regardais, j’avais l’impression de le voir. D’ailleurs, tu lui ressembles de plus en plus en grandissant, Lili. »

Ce n'est qu'à ce moment-là qu'il comprit l'amour éperdu et passionné qu'éprouvait sa mère à l'égard de son père.
C’était la première fois qu’elle lui donnait un surnom. Même s’il ne l’aimait pas, il l’y autorisait, et il n’y avait qu’elle qui ait le droit de l’appeler ainsi. Malheur à quiconque ne respectait pas cette règle…
Mais elle ne fit pas que lui donner des surnoms. Elle reprit fermement son entreprise de parfum en main, allant jusqu’à essayer ses nouvelles créations sur son fils, à tel point qu’une étrange odeur suave, légère, un peu entêtante, se mit à l’accompagner perpétuellement. On pouvait le suivre à la trace… Elle créa même une gamme de senteurs inspirées par lui, gamme qui remporta un vif succès à sa grande surprise.


Le temps passa. Nalian fêta ses dix-huit ans et partagea avec sa mère le gâteau que lui-même avait préparé. Mais alors qu’il portait la fourchette à sa bouche pour enfin terminer sa part…

«-Lian, je t’ai inscrit au lycée. »

Cette déclaration maternelle soudaine stoppa net l’élan de son bras.

«-…pardon ? »

Elle prit un air sérieux.

«-Je trouve que tu es devenu bien taciturne, et je pense qu’être en compagnie de gens de ton âge te déridera un peu. Tu as très peu de contacts avec le monde extérieur.

-…taciturne, moi ?

-Parfaitement.

-…et c’est quel genre de lycée ? »

Elle parut satisfaite de cette question.

«-Un lycée privé qui m’a l’air très respectable.

-Il se nomme ?

-Hanaka. »

Il lâcha brusquement sa fourchette, manquant de s’étouffer avec la bouchée qu’il avait avalée de travers.

«-Tu veux que j’aille au lycée le plus riche de tous le Japon ?!

-C’est surtout le plus proche de la maison, Nali.

-…bon très bien, qu’il en soit ainsi. Je pars quand ? »

Le sourire un peu triste de sa mère on « au revoir Lili !! » furent les dernières choses qu’il eut avant de partir vers ce lycée qu’il ne connaissait que de nom et surtout…de réputation.


Autre : dégage perpétuellement une légère odeur de parfum dont il ne peut se débarrasser, qui lui apporte l’avantage de ne pas avoir besoin de se parfumer…XD
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Setsu Hitachin
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MessageSujet: Re: Nalian De La Meriyan   Nalian De La Meriyan Icon_minitimeVen 8 Juin - 16:56

Oooh. C'est long. C'est bien. Je valide ! *o*

Bienvenue Lili. Muhaha. Cool
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Nalian De La Meriyan
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